Actualité internationale

En Israël, l’éducation des haredim fait polémique


Des étudiants d’un séminaire juif dans une yeshiva de la colonie israélienne de Beit El, en Cisjordanie. Ronen Zvulun/REUTERS

«Bibi» Netanyahu a promis aux partis ultraorthodoxes le maintien des subventions pour leurs écoles religieuses.

Correspondant à Jérusalem

À quelques semaines des élections législatives israéliennes, les cinquièmes en trois ans, Benyamin Netanyahou parvient toujours à s’imposer comme le pivot de la vie politique israélienne. Mais dans ce paysage politique en permanente recomposition, la coalition formée autour de «Bibi» n’est pas aussi robuste qu’elle en a l’air. Outre le Likoud et une alliance de deux partis sionistes religieux d’extrême droite, son groupe comprend les ultraorthodoxes du Shas et du Judaïsme unifié de la Torah. Ces derniers pourraient rassembler une quinzaine de députés à la Knesset, ce qui les place en position de force dans les négociations à venir pour la formation d’un gouvernement.

Cette coalition a bien failli voler en éclat, fragilisée par l’épineux dossier de l’éducation, une question centrale pour les partis orthodoxes. Elle ne tient désormais que sur une promesse de l’ex-premier ministre.

En Israël, la plupart des écoles sont publiques, ce qui ne signifie pas pour autant qu’elles soient toutes soumises au même programme scolaire

Ariel Finkelstein, chercheur au Israel Democracy Institute

«En Israël, la plupart des écoles sont publiques, ce qui ne signifie pas pour autant qu’elles…

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